Chargé du pôle Dématérialisation du BOVP

Je connaissais déjà bien l’univers des Publications administratives pour m’être occupé de ces pages sur paris.fr, aussi bien le journal bihebdomadaire que les débats et délibérations du Conseil de Paris faisant l’objet de publications mensuelles du BOVP. Et lorsqu’une opportunité s’est présentée, j’ai rejoint l’équipe pour mettre en place la dématérialisation du journal et assurer en interne certaines étapes de fabrication.

J’ai donc développé des outils pour imprimer tous les textes en une seule fois et les traiter avec des fonctionnalités automatiques. Elles permettent, par exemple, de corriger le nom d’une direction pour l’écrire correctement, d’appliquer l’écriture inclusive, de reformater les numéros de téléphone selon les règles du journal, les e-mails… Notre fournisseur actuel utilise ces procédés. En les internalisant, nous pourrons devenir autonomes. La prochaine étape consiste à réaliser un « placard », comme celui remis par notre fournisseur, qui nous sert pour réaliser la mise en page sous le logiciel InDesign.

Être proactifs

La crise sanitaire a retardé ces développements car il m’a fallu mettre en place un système pour télétravailler et continuer à sortir le journal. Je fais également une veille sur la validité de la signature électronique. Pour le moment, la version numérique ne peut pas se substituer au papier. Elle a été possible grâce à une ordonnance pendant le premier confinement, mais de manière provisoire. Le jour où cela sera le cas, nous devrons être prêts. Je m’efforce par ailleurs de trouver des solutions à l’occasion de nouvelles demandes.

Ainsi, lorsque qu’il y a eu un changement pour la publication des subventions, nous avons étudié avec d’autres services de la DAJ les éléments indispensables qu’il fallait publier. Résultat, nous avons défini un modèle de tableau que nous avons diffusé aux directions. Être proactifs fait ensuite gagner du temps et simplifie les procédures entre tous les acteurs. 

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